Une de mes oeuvres préférés est Frankenstein, de Mary Shelley que j'ai lu début 2012. Je n'étais pas particulièrement attirée par le célèbre mythe du monstre mort-vivant. Soyons claire, pour moi le monstre de Frankenstein n'était qu'un machin verdâtre et difforme avec des boulons vissés sur les tempes. Et qu'en plus d'être bête et moche, il était un cruel serial killer... MAIS j'ai changé complètement d'avis après avoir lu le roman de Dame Shelley. Et en particulier le roman-album illustré par Philippe Munch. Ce livre est juste super. Oui on a bien affaire à un homme ni mort ni vivant, un assassin qui plus est, un pyroman en plus... MAIS c'est avant tout un homme. Ce qu'il ne cessera de répéter à son créateur, le docteur Frankenstein, affin de justifier ses crimes et d'obtenir ce qu'il veut : de l'amour, tout simplement. Bien évidement c'est facile de jeter la faute sur un manque d'affection paternel, bien qu'a mon avis cela est eu un réel impact sur la psychologie de la créature... enfin bon. Pour dire que ce roman est juste génial, en tout cas moi j'étais bien triste de tout ce qui lui est arrivé à ce pauvre homme (le monstre évidemment).
Du coup. Du coup quoi ? Et bien j'ai voulu écrire un petit texte. Il aurait pu avoir une chance, après tout. En plus le coup de crayon de Philippe Munch lui donne vraiment un charme particulier. Vous n'êtes pas d'accord ?
(Un clic sur l'image pour lire le PDF de deux pages.)
Le texte date du début d'année et est pleins de fautes. Je le sais.
Mais si jamais vous le lisez... il manque des rubis par ici. ☺
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Le texte date du début d'année et est pleins de fautes. Je le sais.
Mais si jamais vous le lisez... il manque des rubis par ici. ☺
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